Suicide médicamenteux que faire ?
Suicide médicamenteux que faire ?
Aujourd’hui , nous vous présentons un article la conduite à tenir face à un suicide médicamenteux.
Notre école de secours d’urgence ESU « maintenir la vie » propose des cours de sauveteur pour tous les niveaux, tous les publics, du professionnel au profane. Des cours BLS ( basic life support) AED (défibrillateur) reconnu par le SRC et IVR ( organe de contrôle Suisse ) ou des cours de 1er secours pédiatriques, ou encore des cours samaritains reconnus pour le permis de conduire.. ( voir sur notre site la liste de cours proposés en cliquant sur le lien suivant )
Tous nos cours sont assurés par des ambulanciers ou infirmiers.
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Suicide médicamenteux que faire ?
Conduite à tenir face à un suicide médicamenteux : les gestes qui sauvent
Le suicide médicamenteux représente une urgence médicale grave. Chaque année, des milliers de personnes tentent de mettre fin à leurs jours en ingérant une dose massive de médicaments. Savoir comment réagir rapidement peut sauver une vie. Voici la conduite à tenir face à un surdosage médicamenteux suspecté ou avéré.
1. Appeler immédiatement les secours
Dès les premiers signes d’un suicide médicamenteux, appelez le 144 (Suisse) ou 112 (Europe) depuis un portable. Décrivez la situation le plus précisément possible : type de médicament, quantité ingérée, heure approximative de la prise et état de la personne (consciente, somnolente, inconsciente, vomissements, etc.).
Ne perdez pas de temps à chercher une solution par vous-même : chaque minute compte.
2. Ne pas faire vomir la personne
Contrairement à une idée reçue, il ne faut jamais faire vomir une personne ayant avalé une forte dose de médicaments. Cela peut aggraver son état, provoquer une fausse route ou brûler les voies digestives. Attendez les consignes des secours médicaux, qui vous orienteront selon la situation.
3. Surveiller les signes vitaux
En attendant l’arrivée des secours, vérifiez la respiration . Si la personne est inconsciente mais respire encore, placez-la en position latérale de sécurité (PLS) pour éviter l’étouffement en cas de vomissements. Si elle ne respire plus, débutez une réanimation cardio-pulmonaire (RCP) si vous êtes formé. Une formation de 1er secours de 3 à 4 heures est vivement recommandée par notre Ecole de secours d’urgence ESU « maintenir la vie ».
4. Conserver les emballages des médicaments
Rassemblez tous les boîtes, flacons ou ordonnances pour aider les médecins à identifier les produits ingérés. Ces informations facilitent le traitement d’urgence et permettent une meilleure prise en charge à l’hôpital.
5. Prévenir les risques futurs
Après un suicide médicamenteux, un suivi psychologique est indispensable. Le soutien des proches, une consultation psychiatrique et la surveillance médicale aident à prévenir une récidive.
Face à un suicide médicamenteux, la priorité est d’agir vite et calmement : alerter les secours 144 ou 112, sécuriser la victime et éviter les gestes dangereux. Une prise en charge rapide peut faire la différence entre la vie et la mort.
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La première partie du cours commencera par la théorie, soit les éléments médicaux de base.
La seconde partie consiste en des ateliers pratiques, tels que le bouche-à-bouche et la réanimation cardiaque.
Cette formation est proposée par l’école de secours d’urgence ESU sur tout le canton de Vaud.
Obligatoire et reconnu par l’OFROU pour l’obtention d’un permis d’élève conducteur.
Les cours de premiers secours se déroulent sur une période de deux jours, soit le soirs ou le week-end.
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